Et si le Ministre Gilbert Bawara avait dit des contres vérités pour rassurer Faure Gnassingbé ? Les non-dits d’une chasse aux « « sorciers ». Dans une émission sur la Télévision togolaise (TVT), il y a quelques semaines, le ministre de la Fonction publique, du Travail et du Dialogue social, M. Gilbert Bawara, s’était livré à un exercice périlleux, qui selon lui apportait des éclairages sur la situation contractuelle des agents de la société Amina, la grève de la FESEN, le conflit à Dodo Cosmétic, entre autres. Cependant les propos tenus par le ministre sous Faure sur la situation puante et honteuse des délégués d’Editogo licenciés par le retraité Directeur Général Remy Banafey Assih ont suscité des interrogations que nous abordons dans cet article. Car, Bawara s’en est pris littéralement à ces délégués, en laissant croire que ceux-ci non jamais privilégié le dialogue.
Tampa Express dans la quête de la vérité a fait des investigations sur les tenants et les aboutissants de cette affaire. Il s’agit de la vie de 10 togolais et leurs familles quand on connait l’apport d’un fonctionnaire au sein de sa communauté. En effet, au cours de l’émission le ministre disais ceci : « Nous-mêmes ministre, nous avons été toujours disponible et ouvert pour recevoir les travailleurs, les délégués du personnel, les délégués syndicaux, les écouter et voir comment rechercher des solutions ».
Les multiples démarches des délégués de l’Editogo vers Gilbert Bawara
Selon les informations qui nous sont parvenues et confirmées par une source au ministre de la Fonction publique, les délégués de l’Editogo ont été reçus, à leur demande, par le Ministre Bawara en personne le 16 septembre 2019. A cette, rencontre précise la source, le ministre s’était offusqué et scandalisé quand les délégués lui avaient présenté la grille salariale pratiquée à l’Editogo. Parce que lorsqu’il était rentré dans la salle ce jour-là, il s’était écrié : « On vous paye bien là-bas n’est-ce pas, quelle est votre problème ? »
Choqué par cette grille minable appliquée aux agents de l’Editogo, le ministre Bawara avait lui-même promis aux délégués de régler ce problème le plutôt possible. « Il les aavait prodigués des conseils et même a salué la démarche vers lui, afin de trouver des solutions durables », souligne notre interlocuteur.
Selon une autre source confirmée par la première, une seconde rencontre a lieu mais cette fois-ci avec le directeur de cabinet. M. Bawara n’étant pas disponible avait expressément désigné son DC d’écouter les délégués et de lui rendre compte. Ce qui fut fait. Le DC ayant promis de rendre compte fidèlement à son supérieur des sujets abordés au cours de ladite rencontre. Contacté, un des délégués licenciés a confirmé toutes ces rencontres en ces termes : « Oui oui, il nous avait reçu le 16 septembre 2029 dans son cabinet. Nous lui avons exposé nos problèmes. Quand nous lui avons montré la grille salariale actuelle appliquée à Editogo, il n’en revenait même pas qu’une telle grille se pratique encore dans une société d’Etat. Nous qui étions présents, nous avons senti qu’il avait lui-même honte de savoir que des Togolais qui travaillent pour l’Etat sont traités de la sorte. » Selon le délégué actuellement sous licenciement, à la fin, le ministre avait promis qu’il va les recevoir de nouveau le 5 octobre de la même année, en présence de toutes les parties prenantes de la crise à l’Editogo. Lui-même les avait énumérées comme suit : Conseil d’administration de l’Editogo, la Direction générale, le ministre de tutelle et les représentants sociaux à l’Editogo, afin de trouver une voie de sortie et des solutions durables et bénéfiques pour les agents de l’Editogo. « Tenez-vous bien il nous avait même félicités pour notre maturité et notre sagesse pour la recherche des solutions à Editogo ».Tenez-vous bien, le Ministre Gilbert Bawara parle de Conseil d’Administration de l’Editogo ! Celui de l’Editogo est un renouvellement de l’année 2013 et tous ces membres avaient pris fonction depuis le 12 décembre1996 donc plus de 26 ans d’exercice. Sur les six (06) membres du CA, la moitié soit trois (03) sont encore en vie dont le Président du Conseil d’Administration Monsieur WOAMEDE Tétévi Kokou. L’article 420 de l’OHADA stipule que « La durée du mandat des administrateurs est fixée librement par les statuts sans pouvoir excéder six ans en cas de nomination en cours de vie sociale et deux ans, en cas de désignation par les statuts ou par l’assemblée générale constitutive. Nomination du représentant permanemment de la personne morale membre du conseil d’administration et durée de ses fonction » C’est dire que ce Conseil d’Administration que le Ministre Gilbert Bawara évoquait et dont le quorum pour les prises de décision est le 4/5ème est caduque depuis des années.
Le 20 septembre 2019, par un courrier N°541/2019/MFPTRAPS/CAB/SG/DGT (En ANNEXE), le ministre Bawara écrivait aux délégués en ces termes : « Conformément aux échanges que j’ai eus avec vous à mon cabinet le lundi 16 septembre 2019,(…) Il nous parait impérieux, dans l’attente de discussions et de concertations plus approfondies avec l’ensemble des parties prenantes, de sursoir à tout mot d’ordre de grève et à toute perturbation des activités. Ceci nous permettrait, dans les semaines qui viennent de nous impliquer activités dans une séries de concertation et d’échanges avec vous et avec les dirigeants de l’entreprise afin de mieux appréhender la situation qui y prévaut, de procéder à la revue des discussions et accords antérieurs et de s’accorder sur les mesures qu’il conviendrait de mettre en œuvre pour l’avenir afin de sauvegarder l’Editogo ». A travers ce courrier le ministre Bawara parle bien « dans les semaines qui viennent ». Cependant, un an plus tard rien n’a bougé. Les agents d’Editogo continuent par baver et subissent inlassablement aux différentes augmentations des prix sur le marché sans que leur salaire ne suive.Un délégué nous confie. « Nous avons respecté pendant plus d’un an les recommandations de Bawara. Nous avons pu convaincre les camarades de garder espoir, parce que le ministre Bawara nous avait promis de régler nos problèmes. Mais après tout ça rien. Toutes les tentatives pour le rencontrer à nouveau sont jusqu’à ce jour restées vaines. Nous avons par la suite cherché à contacter le ministre pour que cette fameuse rencontre ait lieu. Jamais il ne nous a plus reçu. Toutes tentatives se sont heurtées à un silence. Aujourd’hui c’est lui qui nous accuse de n’avoir jamais procédé par le dialogue. C’est dommage et méprisant de sa part. En tant que délégués nous avons eu toujours pour objectif que les conditions de vie et de travail de nos camarades agents de l’Editogo s’améliorent et de les voir sourire quand ils viennent travailler ».
Pourquoi Bawara n’a pas organisé la rencontre promise ?
Les informations qui nous sont parvenues font état d’une visite du Directeur Général Remy Banafey Assih accompagné d’un de ses collaborateurs, au Ministre Bawara à son cabinet. « C’est à partir de cet instant que les choses ont changé. On ne sait pas ce que le DG Assih lui a raconté. Nous n’avons jamais pu le rencontrer après cette rencontre avec notre DG », confie l’un des délégués.
Au cours de la même émission sur la TVT, M. Bawara lançait : « Ils (les délégués de l’Editogo) devraient s’efforcer de promouvoir le dialogue et la concertation entre l’employeur et les travailleurs, de remonter les préoccupations des travailleurs vers l’employeur et de faire en sorte que les deux parties puissent discuter et parvenir à un terrain d’entente, qui préserve à la fois l’outil de travail et en même temps, veille à protéger les travailleurs et à contribuer à l’amélioration de leurs conditions », a-t-il indiqué, en poursuivant : « Ces délégués syndicaux ou ces délégués du personnel ferment les clés d’une entreprise, bloquent les machines, ferment les clés des véhicules qui doivent effectuer des livraisons. Quelle que soit la nature du problème qui existait, cela n’est pas acceptable ».
Une source nous confie ce qui suit : « Les délégués ont en tout temps adressé des courriers au DG mais celui-ci ne les a jamais reçu. Ils les traitent mêmes de bandits. Il est même allé loin pour les traiter de djihadistes et terroristes. Comment peut-on traité des employés de cette manière. Alors même que la plupart sont ses petits frères et sœurs ? Vous savez nous ne cherchons qu’à manger à notre faim. Aujourd’hui tous nos amis qui travaillent pour l’Etat togolais sont bien lotis avec toutes augmentations successives. Ici, nous leur avons fait quoi exactement, on ne comprend absolument rien ».
Selon nos recoupements qui confirment les dires de la source, plusieurs courriers ont été adressés au DG Assih. Mais celui-ci n’a jamais répondu. Dans le premier en date du 24 juin 2021 et référencé : N073/24/06/21/DP (En Annexe) on peut lire en substance « Monsieur la Directeur Général, durant ce mois de juin 2021, les camarades travailleurs se trouvent durement touchés par la situation de la flambée générale des prix des produits de première nécessité dans le pays. Face à cette situation, la tension sociale s’élève de jour en jour dans l’entreprise et risque de déborder sur une manifestation de mécontentement généralisé dans les jours à venir. Il poursuit en ces termes « Afin de remédier à cette tension qui s’annonce très vive dans l’entreprise, les délégués du personnel demandent, Monsieur le Directeur Général, à vous rencontrer dans un bref délai, en vue de trouver une issue d’apaisement social au sein de l’entreprise ».
Comme l’on peut le constater en bas, de ce courrier, il a fait l’objet d’une ampliation à la Primature, au Ministère de la Communication et à l’inspection du travail. Selon, un des délégués ce courrier n’a fait l’objet de réponse de la part du DG. Au contraire se sont des manœuvres d’intimidation, de dénigrements et de a chasse aux sorciers.
Le 1er juillet 2021, un courrier réf : N° 074/01/07/21/PD (En Annexe) intitulé « Relance de la demande de rencontre d’urgence » a été adressée au Directeur Général. Dans celui-ci, les délégués du personnel réitéraient les mêmes demandes à leur employeur. Mais, toujours c’est le silence.
Alors, à la lumière de tous ces éléments, on peut se demander de qu’elle dialogue parle le ministre Bawara ? C’est parce que le Ministre Bawara s’est retrouvé sur les antennes de la télévision nationale qu’il se permet de dire ce qui lui passe par la tête, alors que lui-même a été saisi du dossier et n’a daigné levé un petit doigt. Le Chef de l’État Faure Gnassingbé est-il en sécurité lorsqu’il doit faire confiance à des collaborateurs belliqueux et à la limite menteurs ?
Des paradoxes dans les propose du Ministre Gilbert Bawara
« Cette entreprise, pour le moment, vit presque essentiellement sur la base des subsides et des subventions de l’État. Le monopole qu’Editogo avait dans le passé, n’existe plus. Ce qui signifie que les travailleurs, y compris les délégués du personnel, doivent faire preuve de plus de retenue, doivent faire preuve de bon sens et de responsabilité. Quand il y a des problèmes, il doit être possible de discuter avec l’employeur, de se référer aux organisations syndicales, aux inspecteurs du travail. Nous-mêmes ministre, nous avons été toujours disponible et ouvert pour recevoir les travailleurs, les délégués du personnel, les délégués syndicaux, les écouter et voir comment rechercher des solutions », a charlaté le ministre Bawara lors de l’émission.
Ici, le fidèle de Faure Gnassingbé (Gilbert Bawara) parle « de bon sens », de « retenu et responsabilité ». Dans quel pays sommes-nous ? Il dit bien que cette entreprise vit essentiellement des subsides et de la subvention de l’Etat. Au même moment on rabat les oreilles des agents de l’Editogo qu’ils ne font pas de bénéfices et donc ne peuvent pas avoir leur salaire augmenté comme chez les autres agents de l’Etat. Une entreprise subventionnée chaque année par l’Etat, cela veut dire que celle-ci n’est pas appelé à faire des bénéfices.« Bawara peut nous dire comment se fait-il que les travailleurs de l’Editogo n’ont bénéficié d’aucun avantage accordé depuis 2008 comparée aux autres agents de l’Etat, alors que les activités de l’entreprise sont subventionnées ? Au nom de qu’elle principe oppose-t-on l’augmentation des salaires des agents de l’Editogo à la performance de l’entreprise ? Tous les secteurs de l’administration publique ont vu leur salaire valorisé depuis 2008, pourquoi les agents d’Editogo qui travaillent pour l’Etat sont moins nantis. ? Nous sommes tous Togolais, nous avons les mêmes difficultés, nous allons sur les mêmes marchés, on nous pratique les mêmes prix et quand on augmente le salaire des autres Togolais comme nous, on nous dit que les agents de l’Editogo ne sont pas concernés. Pourquoi ? Nous travaillons aussi pour l’Etat non ? ». C’est autant d’interrogations de la part des agents de l’Editogo, très amer contre la politique « d’apartheid » que pratique Faure Gnassingbé et ses gouvernements successifs, à l’égard de l’Editogo. Alors que Radio Lomé, ATOP et la TVT sont des gratuits, Editogo vent la presse et les espaces de publicité dont le revenu rentre directement dans les caisses de la société « Nous sommes l’un des médias qui rend compte des activités du président de la République, du gouvernement, des ministres, des députés… Mais tout ce monde s’en fou de nous. Nous faisons exactement les choses que la TVT, Radio-Lomé et Kara, et nos collègues qui travaillent là-bas sont bien traités. Pourquoi nous autres devons mourir de faim », se lamente un journaliste de Togo-Presse, le Quotidien de l’Etat dont Remy Banafey Assih est le directeur de publication.
Où en est-on avec « l’audit stratégique et opérationnel » de l’Editogo ?
Début 2021, les récurrentes crises sociales de l’Editogo ont fini par faire l’objet d’un semblant attention de la part du gouvernement. En effet au cours du conseil de ministre en date du 17 février 2021, Faure Gnassingbé et ses ministres avaient « examiné une communication relative à la situation de la société nationale des éditions du Togo présentée par le ministre de la communication et des médias ». Et « tenant compte de la mutation du monde de l’édition, il est proposé un audit stratégique et organisationnel de la société en vue de sa restructuration ».
L’on avait pensé à l’époque que cette décision ouvrait des lendemains meilleurs à cette société. Mais que ni-ni. Le ministre Akodah Ayewouadan avait semblé prendre le taureau par les cornes mais contre toute attente, c’est le DG de l’Editogo qui a lancé cet appel d’offre pour recruter un cabinet pour effectuer l’audit stratégique annoncé par le gouvernement. L’on se demande s’il doit y avoir un audit recommandé par le gouvernement dans une entreprise d’Etat, c’est le directeur de la même structure qui choisir le cabinet qui doit effectuer cet audit ?Dans tous les cas, le cabinet sélectionné à l’issue de ce depuis la publication de cet appel d’offre No 001/2021/AMI/EDITOGO du 13 Avril 2021, un cabinet a été retenu mais plus tard invalidé en Conseil des ministres. Selon les indiscrétions, une idée de surfacturation a été le soubresaut qui a jalonné le processus. Le ministre de la communication Akodah Ayewouadan, Agrégé des Facultés de droit, censé mettre de l’ordre dans ce foutoir depuis plus de 15 ans a pris ses responsabilités en invalidant la forfaiture. Et depuis le mois de décembre, silence radio. Même la Primature qui selon nos informations avait pris bras le corps la résolution de cette plaie béante qui gangrène Editogo. Par conséquent, ce sont près de 350 togolais qui travaillent nuit et jour dans cette entreprise et leurs familles respectives qui doivent faire l’effort de survivre chaque jour, car le salaire pratiqué à l’Editogo en tant que société d’Etat, est le plus minable sur le territoire national.

Madame Victoire Dobgé et les victimes collatérales de la guerre des clans
Les victimes directes de cette lutte clanique sont huit (08) cadres licenciés injustement du FNFI pour leur présumé appartenance à Victoire Tomegah-Dogbe et les dix (10) délégués, agents de la société Editogo pour certainement haute trahison.
Les premières victimes sont des agents qui ont pour la plupart démarré le FNFI avec Mme Victoire Dogbé depuis 2015 bien avant le recrutement de la nouvelle patronne Mme Assih Mazamesso en 2017. Cette fille d’un homme du sérail, va vite gravir les échelons jusqu’au point d’arracher la boîte des mains de Mme Dogbe. Assih Mazamesso, nièce du DG de l’Editogo, finira par se mettre hors de portée de la PM grâce à sa nomination comme Secrétaire d’État à la Présidence de la république en charge de l’Inclusion financière et du secteur informel. C’est ainsi qu’elle parviendra à transformer les CDI de hauts cadres en CDD sans que ceux-là ne disent mot. Et comme les intéressés eux-mêmes ne disaient rien, la fin de leur séjour au FNFI leur sera notifiée en juillet 2021. Pour justifier la forfaiture un posting clandestin sera poster le 18 septembre intitulé « Togo-Le Fnfi et 7 ans plus tard, Assih Mazamesso exacerbe par son (agaçant) rigorisme ». Selon le ponsting, « Sept ans après le lancement de ce vaste projet de lutte contre la pauvreté et alors qu’elle le pilote depuis 2017, nul ne conteste les exploits du Fonds national de la finance inclusive (Fnfi). Mais le rigorisme à l’excès de Mazamesso Assih a de quoi déranger et certaines de ses dernières décisions ont fini d’exacerber tensions et détractions. Même si le fait que la structure ait été précédemment miné par le népotisme et le tribalisme, rendant incontournables certains cadres peu compétents est aussi la bombe à retardement qui explose à petits feux. »
Mais seulement presque 8 mois après cette vague de licenciement le paradoxe surgit. Le chiffre du jour du 17 mars 2022 de la même FNFI annonce que « En huit ans, 1,8 millions de crédits alloués pour un montant de plus de 100 milliards de Francs CFA, un taux de remboursement à plus de 93% ». Juste cette publication de l’institution en charge de l’inclusion financière montre que les 7 hauts cadres licenciés sont loin d’être efficaces.
Quant à la seconde vague, l’on leur reprocherait entre autre d’avoir rencontré Mme Victoire Dobgé au lendemain de sa nomination pour étaler les problèmes de l’Editogo. Il faut souligner que ces confrères de l’Editogo étaient aussi pris dans le piège de Mme la PM qui leur avait promis ciel et terre. En plus de cela le camp rival n’aurait pas apprécié la communication du Ministre Akodah Ayewouadan au au Conseil des ministre février 2021 annonçant la réalisation d’audit stratégique et organisationnel de l’Editogo SA.
L’inspection du travail et des lois sociales de Lomé-Ouest 1 qui avait consacré le licenciement des 10 délégués, n’aurait exécuté que des ordres. Ainsi le hasard a voulu que le Directeur Général le Doyen Remy Banafey Assih fasse comme sa nièce en renvoyant 10 agents soit deux de plus que Mazamesso à la misère. Pire en mars 2022, Mlle Assih Mazamesso, enfonce le clou par le renvoi à la misère de 50 agents de la DOSI.En plus de ces pauvres victimes, l’histoire retiendra que c’est au temps de « Gouverner autrement » que le Togo a enregistré un record dans le licenciement dans la Zone Franche avec une vague de plus deux mille employés de la société AMINA TOGO et chez son homologue Dodo Cosmetics, plus de 150 employés… Quel malheur pour le Togo ? Et tout cela ne dit rien au ministre de la Fonction Publique, du Travail et du Dialogue Social, Gilbert Bawara qui dont en principe s’évertuer pour dire les contres vérités.